Présentation

Infirmière DE du CHR de Nantes depuis 1987, je décide de m’orienter vers la formation en graphologie par l’organisme du CEPEG de Nantes à partir de 2013, puis à la graphothérapie, par l’organisme de Madame Fabienne Coubard à saint Cyr/Mer.

ma proposition

Accompagner les jeunes en difficulté à cause de leur écriture, sachant que ce moyen de communication est un élément clé du tissu social, et consolider la confiance en soi.

CE QUE VOUS APPRENDREZ

La rééducation du geste, la reconstruction de la forme, la maîtrise du rythme, la régulation du tracé, la souplesse des appuis, et la prise en compte de l’espace, la liaison entre les lettres et la vitesse en sont les objectifs principaux qui permettront d’accéder à l’aisance graphique.
Au préalable, j’évalue le degré de dysgraphie par un bilan graphomoteur.
Le but recherché n’est pas une esthétique artificielle ; mais tous les éléments que je viens de citer devront s’articuler de façon fluide, et tendre vers une certaine harmonie. C’est un point d’orgue entre les acquis d’apprentissage et la personnalité, qui se rejoignent pour former une écriture propre à chaque personne.


L’ÉCRITURE AUJOURD’HUI…

« Ecrire à la main améliore les performances cognitives et facilite l’apprentissage. On observe une meilleure assimilation et une meilleure capacité de synthèse chez les scripteurs, que ceux qui utilisent les ordinateurs en prise de note. »


L’écriture n’est plus aujourd’hui l’outil essentiel de la communication. L’apprentissage de la calligraphie en primaire s’est assoupli.

La prise de note au stylo a quasiment disparu de nos réflexes; les post-it couvrent nos écrans, nos frigos, comme aide- mémoires.
Quant à l’envoi de cartes postales, de lettres, c’est un charme que nous avons laissé tomber en désuétude ; les téléphones tactiles ont eu raison de ces coutumes obsolètes. Il est si rapide de donner des nouvelles en un clic.
L’informatique prend le pas sur l’écriture, depuis de nombreuses années. Celui qui n’est pas à l’aise avec cet outil révolutionnaire est désormais désavantagé, voire exclu. Il perd progressivement en autonomie.

La pensée fait progresser le crayon avec une forme différente pour chaque lettre, dans une liberté qui est absente lorsque qu’on écrit sur un clavier.

L’introduction du clavier à l’école a des répercussions. Depuis 2013, elle est généralisée aux USA. Ainsi, l’enfant n’apprend plus à dessiner des lettres, mais à repérer les lettres sur le clavier ; Ce geste ne sollicite ni la mémoire, ni l’aisance graphique : c’est un automatisme.
Or, les neuroscientifiques affirment que le mouvement, l’activité mentale et les gènes impliqués dans l’apprentissage sont interdépendants.

Ils ont découvert que les connexions sensorielles se renforcent quand les enfants, notamment, écrivent en cursive.
Ecrire à la main améliore les performances cognitives et facilite l’apprentissage.

On observe une meilleure assimilation et meilleure capacité de synthèse chez les scripteurs, que ceux qui utilisent les ordinateurs en prise de notes. De fait, le stylo oblige à faire fonctionner davantage son cerveau.